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19 juillet 2018

JECRIS SANS REGARDER

(j'écris sans regarder l'écran et à toute vitesse pur flux de conscience)

 

Ton plus grande succès c'est l'amour ta grande grâce c'est de ne digérer rien comme tout le monde et tes rots empèsent le ciel d'un air de débat.
Pourquoi as tu sacrifié ta vie. Quel intérêt ce fut que de te mettre dans ces abîmes amers là. Ni ceux d'avat ni ceux d'après. Et quoi ? Pourquoi n'en sortirpas il eut fallu il eut suffi d'un geste, d'un premier geste au cours de l'été, n'importe lequel des étés mais l'un de ceuxq ui ont passé. Un mot et tout aurait pu finir ou, même, tout aurait alors commencé et quoi les portes de l'élysée s'ouvrir et quoi encore trouver des fleurs mauves rencontrer dans les bains publics un autre siècle et l'ombre tenace de ta poésie lyrique. Que s'en est il fallu que je ne périsse pas et désormais la mort me revient comme une sale maladie vénerienne qui te passe et te rappelle ton vice d'avant. Cette putain d'acnée de la bite et e la lèvre cette chienlit d'herpès mais aç te couvrer l'âme. 
Tu écris sans regarder à cette heure ci tu as passé une nuit belle et un matin triste. Il était sur les ops de midi et les volets 'ouvraient la cigarette emplissait la chambre et c'était une odeur d'amour ce mélange de poussière et de tabac (chaud puis froid). Les rideaux renonçaient à filtrer la lumière blonde et tout s'envahissait, la thei¨ère où le thé infusait la nudité s'achevant dans une robe - quels motifs ? et mes chaussettes jaunes et cette putain de douleur depuis qui ne me lâche pas chien de garde de ma douleur.
Putain, putain, putain et je n'ai plus la force désormais encore je suis fendu par le centre et toute la force coule dans mon cri de châtré de lpache et toute ma force encore m'échappe et alors ce sera l'extinction, alors la lumière dedans baillera une dernière fois, alors quoi. Quoi. Le thé très noir on aurait cru du café et je réclamais du café et le café ce n'était plus possible parce qu'il fait au coeur et à l'humeur des drames pires que les amours mortes.
JAI MAL JAI MAL JAI MAL 
Et je :mets ceci ici non pour appel au secours et non pas (ou si mais pas seulement) être vu être lu et qu'on sache ce tambour infini qui me déchire l'entraille, ces boulets, ce roulis de feu qui me périt du dedans. JAI MAL PUTAIN. Pourquoi l'incapacité et c'était si grave que d'être un jour d'un pied lassé repoussé dans les coins, c'était si grave de ne pas croire non en l'autre mais en soi au point que de craindre d'être effacé, d'être soi-même comme un appartement qu'on abandonne. Pourquoi cette terreur là à ce point ? Tu avais vingt ans Jonathan et tu dormais dans le hall d'escalier de Marion, tu avais une tête de fou et la voisine du 5e te craignais comme un vagabond d'un autre siècle. Tes cheveux étaient hirsutes et tu attendais d'entrer chez Marion que Jessie sa mère et sojn beau père aillent travailler. Et la voisine une arabe te craignais tu avais les cheveux fous et un gros manteau de laine comme souvent trouvent les clocahrds pour se garder du froid. J'ai mal pourquoi ai je perdu cette force qui me menait au Capitole attendant des heures Marion qui ne venait pas. Pourquoi je rodais et tremblais dans ma chambre d'hôtel c'était quoi la place Washington je crois où il y avait les cinémas et je mre prenais en photo comme un fou. La premi§re chambre à côté de la gare. Pourquoi ai je perdu cette force là. Les brûlures de cigarettes que tu te mettais sur le ventre et le poignet pour montrer que tu aimais au delà de la douleu rphysique. 
Pourquoi cette fois là non ? Pourquoi cette peur là ? Moi, mOI MOI MOI difforme de l'action.
JNamais jamais je ne me le pardonnerai et moins encore depuis lundi que toute ma force m'a quitté 

plus jamais je ne serai vivant là je reprends la phrase à toute allure qui ne se laisse pas faire mustang de la page blanche qu'on ne dresse pas. Moi, moi , moi ,moi et je faillis et je faillis je défaillis et je faillis aussi le FAIRE. A quoi ç as'est joué? Cette semaine maudite où tu bossais comme un fou et Marcadet empoisonnait l'air ou bien la langue de B sur ta chatte humide. Non, non, non tout ça on surmontait et c'était ma peur d'être relégué, de devenir un personnage secondaire de ma prpore existence, de depérenrre d'une autre vie que de la mienne, d'être là, l^âché un jour dans un janvier glacial avec pour soi rien que sa honte sa détresse et samaladie mentale. Avec rien d'autre que ce pauvre rien. Pourquoi ? Pourquoi ? Etait ce si ompossible de dire d'accord. Il aurait fallu partir je crois que si l'on avait dit "partons, là bas, je crois qu'alors j'aurais pu" mais je ne savais pas. Et ce n'est pas normal de fuir plutôt que de dire ça suffit. AHHGHGH
Je pleure je chiale ne me divise je e décire je veux que cette peine là s'arrête et la phrase m'mporte et me tue et le clavier enourrit mes doigts et ce ne sera plus jamais la même chose. Ca t'a pris, l'amour, d'une autre forme, plus régulière avec sa démence aussi cette perfection qui dans les bouquins de Ballard fait des gamins assassiner leurs parents, les massacrer les pendre par les couilles. Bordel.
BORDEL ma voix intérieure je l'ai perdue et je la retrouve ici quand je tape comme un fou savez vous que tapant comme !a je murmure ce que je dis je précède dans un souffle ke puxel comme si moi je dictais à mes doigts et suqe nous étions séparés. JAI MAL.

POURQUOI POURQUOI
Il eut suffit fallu d'un rien de demande rà Mryriam le courage qui la fit vivre ) Athènes putain.

Qu'est ce qui t'as pris merde ? De retour de Nantes, qu'est ce qui t'as pris de retour de Nantes. Marc par la fenêtre me voyait descendre et il a dit "il arrive" et dans ce "il arrive" c'était en plein hiver un drôle de soleil. Et j'ai mal de m'en souvenir, j'ai mal à en crever, à en pleurer, et de retour à Nantes il faudra la noyade parce que ce n'est pas possible. La sottise se noyer dans les flots tendres des océans ou des mers, la sottise tandis que la mort se fait dans les grands fleuves qui tonitruent et tuent mieux qu'à leur tour. Mais les fleuves sont couverts d'hommes et de sauvateurs. Pourquoi j'ai fait ça ? Pourquoi je me suis pas jeté dans le vide, n'importe lequel de ces vides là celui du haut des ponts ou celui plus difficile du risque. 
Lerde tu as eu vingt ans tu as adoré avoir vingt ans avec ton méris et ta morgue tes réussites sans faire exprès Grasset qui t'écrit et toi qui te fais comme ça un peu d'argent de poche pour un livre que jamais tu n'auras fini et Y.B t'en veux pour toujours à cause de ça. 
Et Nantes, c'était hier Nantes puis ce fut, mais sans moi, alors, toutes les villes d'ailleurs et j'ai mal.
Et marc qui disait il arrive et qui disait "je me sens violé de voir Jonathan avec des grosses chaussures" il y avait du verglas et je craignais de tomber en glissant en montant la toute petite volée de marche. Le sol était gelé et cherchant de l'alcool et de l'eau pétillante (san P) alors elle a glissé et je crois que mon coeur s'est brisé dans cette chute à elle.

On croirait, des lecteurs me l'ont déj dit que ce que je fais c'est conscient que je mre relis et me corrige ajoutant au hasard de la sésure et de la syntaxe des fautes de frappe. Et j'ai écrit mes po!èes minutes pour montrer que c'était faux. Que j'écris à toute allure et sans regarder l'écran et que les mots giclent comme pour un amour trop vif la première nuit quand ç afaisait longtemps qu'on avait pas aimé.

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Commentaires
D
C'est ce qu'on appelle du génie. <br /> <br /> Je vous ai contacté il y a quelques temps par mails et par commentaires en vue d'une publication dans une grande maison d'édition et au sein d'une collection qui correspond absolument à votre démarche . Vous n'avez jamais fait suite puis vous avez cessé toute production. Abonné au blog quel plaisir de recevoir une série d'e-mails. N'hésitez pas à revenir vers moi.
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  • une fleur qui a poussé d'entre les lézardes du béton, un sourire qui ressemble à une brèche. Des pétales disloqués sur les pavés à 6 sous. J'entends la criée, et le baluchon qu'on brûle. Myself dans un monde de yourself.
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